...Un blog, quinze ans. C'est une page ouverte sur l'étincelle divine du cœur d'Alice, un livre sans fin qui s'écrit au fil des jours. Un livre que l'on ne referme jamais vraiment, car chaque visite est un nouveau chapitre, une nouvelle surprise. Alice ne force rien, elle ne crie pas. Elle murmure. Et c'est dans ce murmure que l'on trouve la plus grande force, la plus douce des consolations. Comme la chute d'une goutte d'eau dans une source, ses billets font des ronds dans l'eau de notre conscience. Elle nous rappelle la beauté des choses infimes, la profondeur des instants éphémères. Quinze ans de ce fil tendu, de cette main posée sur l'épaule. Alice, ce nom murmure la clarté, l'innocence retrouvée. Et son petit monde, quelle délicatesse ! Il ne s'agit pas ici de grandes théories ou de fracas du monde, mais de cette petite musique du quotidien, celle qui se niche dans le battement d'ailes d'un papillon, le silence d'une tasse de café fumant, ou la lumière d'un matin d'été. Quinze ans, c'est un seuil. Le blog, comme une vieille maison pleine de souvenirs, exhale le parfum des heures passées à ciseler les phrases, à chercher le mot juste pour dire l'indicible. C'est un jardin où l'on revient toujours avec plaisir, sachant qu'on y trouvera la fleur rare, l'écho d'une pensée oubliée. Ce n'est pas un anniversaire que l'on fête avec des cris, mais avec un sourire, un murmure. C'est la beauté ténue de la persévérance, la grâce de rester fidèle à la petite voix intérieure qui pousse à publier, à partager, à offrir un peu de soi. Alors, pour ces quinze étés radieux, levons un verre. Ou peut-être juste un souffle, léger comme la buée sur une vitre. Car ce blog est une fenêtre ouverte sur notre intérieur, et chaque lecture est une invitation à ralentir, à respirer, à s'émerveiller du peu qui est tant. Merci, Alice, pour ce chemin de quinze ans. Qu'il continue à fleurir, encore et toujours, sous le regard bienveillant des étoiles... ;-) .🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸 ....Pour ne pas être les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De la poésie de ce blog ! De la douceur d'un voyage en Sampan ! De la lumière d'Alice ! ...Si parfois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge vous répondront : « C’est l’heure de s’enivrer ! » De la poésie ! De la beauté ! De l'enchantement ! Toujours. Et si vous avez l'âme lasse, le cœur lourd des vulgarités du monde, tournez-vous vers son petit monde. Là, l'ivresse vous attend, non pas celle qui étourdit, mais celle qui élève. L'ivresse du sensible, du vrai, de l'émerveillement renouvelé. Enivrez-vous ... Enivrez-vous de ce blog. Enivrez-vous d'Art et de Bonheur ! Enivrez-vous d'Alice ! 😉🍾🍸
Anne-Sylvie Pinel interprète ce poème d'une façon très originale, pas mal du tout ! Merci pour ton si gentil commentaire... c'est très exagéré mais ça me fait plaisir, évidemment... ;-)
...Un blog, quinze ans. C'est une page ouverte sur l'étincelle divine du cœur d'Alice, un livre sans fin qui s'écrit au fil des jours. Un livre que l'on ne referme jamais vraiment, car chaque visite est un nouveau chapitre, une nouvelle surprise. Alice ne force rien, elle ne crie pas. Elle murmure. Et c'est dans ce murmure que l'on trouve la plus grande force, la plus douce des consolations. Comme la chute d'une goutte d'eau dans une source, ses billets font des ronds dans l'eau de notre conscience. Elle nous rappelle la beauté des choses infimes, la profondeur des instants éphémères. Quinze ans de ce fil tendu, de cette main posée sur l'épaule. Alice, ce nom murmure la clarté, l'innocence retrouvée. Et son petit monde, quelle délicatesse ! Il ne s'agit pas ici de grandes théories ou de fracas du monde, mais de cette petite musique du quotidien, celle qui se niche dans le battement d'ailes d'un papillon, le silence d'une tasse de café fumant, ou la lumière d'un matin d'été. Quinze ans, c'est un seuil. Le blog, comme une vieille maison pleine de souvenirs, exhale le parfum des heures passées à ciseler les phrases, à chercher le mot juste pour dire l'indicible. C'est un jardin où l'on revient toujours avec plaisir, sachant qu'on y trouvera la fleur rare, l'écho d'une pensée oubliée. Ce n'est pas un anniversaire que l'on fête avec des cris, mais avec un sourire, un murmure. C'est la beauté ténue de la persévérance, la grâce de rester fidèle à la petite voix intérieure qui pousse à publier, à partager, à offrir un peu de soi. Alors, pour ces quinze étés radieux, levons un verre. Ou peut-être juste un souffle, léger comme la buée sur une vitre. Car ce blog est une fenêtre ouverte sur notre intérieur, et chaque lecture est une invitation à ralentir, à respirer, à s'émerveiller du peu qui est tant.
RépondreSupprimerMerci, Alice, pour ce chemin de quinze ans. Qu'il continue à fleurir, encore et toujours, sous le regard bienveillant des étoiles... ;-)
.🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸🍾🍸
....Pour ne pas être les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse !
De la poésie de ce blog ! De la douceur d'un voyage en Sampan ! De la lumière d'Alice !
...Si parfois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge vous répondront : « C’est l’heure de s’enivrer ! »
De la poésie ! De la beauté ! De l'enchantement ! Toujours. Et si vous avez l'âme lasse, le cœur lourd des vulgarités du monde, tournez-vous vers son petit monde. Là, l'ivresse vous attend, non pas celle qui étourdit, mais celle qui élève. L'ivresse du sensible, du vrai, de l'émerveillement renouvelé.
Enivrez-vous ... Enivrez-vous de ce blog. Enivrez-vous d'Art et de Bonheur ! Enivrez-vous d'Alice ! 😉🍾🍸
https://youtu.be/83yRLaDdesA?si=K2ZkpMWqMS88LJv9
Anne-Sylvie Pinel interprète ce poème d'une façon très originale, pas mal du tout !
SupprimerMerci pour ton si gentil commentaire... c'est très exagéré mais ça me fait plaisir, évidemment... ;-)