.....Chercher la beauté, la passion, l’amusement ? Ce n’est pas nécessaire. Le ruisseau ne cherche pas l’océan, et pourtant il y va. La fleur ne cherche pas à être belle, et pourtant elle l’est. Alors, avançons sans attachement, goûtons chaque instant comme il vient. Le rire, la lumière, même l’ombre ont leur place. Après tout, le mystère n’a pas besoin d’être compris pour être vécu... ;-)
Frédéric Lenoir cherche à nous consoler, c'est gentil ! ;-) Mais en attendant, on préférerait peut-être ne pas "grandir" et savourer une vie ressemblant davantage à un long fleuve tranquille, non ?! Tu vas bien ?
....Alice, peut-être que grandir, ce n’est rien d’autre qu’apprendre à danser avec le vent, à écouter le silence d’une étoile, à laisser une feuille d’automne nous souffler un secret. Le fleuve n’est jamais tout à fait tranquille, mais il sait toujours retrouver la mer. Et nous, nous avons l’instant, fragile et lumineux comme un matin d’avril. Je vais bien merci, et toi ?
On va simplifier et décider que "grandir", c'est ça en effet ! Ça me convient... ;-) Oui, merci, je vais bien aussi : on se dirige vers l'été et c'est l'époque que je préfère, je me sens revivre ! :-))
.....Chercher la beauté, la passion, l’amusement ? Ce n’est pas nécessaire. Le ruisseau ne cherche pas l’océan, et pourtant il y va. La fleur ne cherche pas à être belle, et pourtant elle l’est. Alors, avançons sans attachement, goûtons chaque instant comme il vient. Le rire, la lumière, même l’ombre ont leur place. Après tout, le mystère n’a pas besoin d’être compris pour être vécu... ;-)
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/516Mzi2dQpE?si=sEY40qIPirq8qqo8
Frédéric Lenoir cherche à nous consoler, c'est gentil ! ;-) Mais en attendant, on préférerait peut-être ne pas "grandir" et savourer une vie ressemblant davantage à un long fleuve tranquille, non ?!
SupprimerTu vas bien ?
....Alice, peut-être que grandir, ce n’est rien d’autre qu’apprendre à danser avec le vent, à écouter le silence d’une étoile, à laisser une feuille d’automne nous souffler un secret. Le fleuve n’est jamais tout à fait tranquille, mais il sait toujours retrouver la mer. Et nous, nous avons l’instant, fragile et lumineux comme un matin d’avril. Je vais bien merci, et toi ?
RépondreSupprimerOn va simplifier et décider que "grandir", c'est ça en effet ! Ça me convient... ;-)
SupprimerOui, merci, je vais bien aussi : on se dirige vers l'été et c'est l'époque que je préfère, je me sens revivre ! :-))