« À vous dire la vérité, il y a peu de choses qui me soient impossibles, quand je m'en veux mêler. » Scapin, Acte I, scène 2 C’elle ci... ...tienne la route !Pardonne les fourberies de ce calepin !!!
C'était la mode, dans les années entre 1958 et 1966. Maintenant je trouve ça un peu ridicule, d'être pointues à ce point. De plus, elles étaient très décolletées, jusqu'à la naissance des orteils !
Moi, ce matin, je me suis déboité le genou à cause de mes claquettes glissantes ... alors je marche en chaussettes !!!!
RépondreSupprimerMerci pour le travail que vous faites sur ce blog qui contient pas mal de bons articles.
RépondreSupprimer« À vous dire la vérité, il y a peu de choses qui me soient impossibles, quand je m'en veux mêler. »
RépondreSupprimerScapin, Acte I, scène 2 C’elle ci... ...tienne la route ! Pardonne les fourberies de ce calepin !!!
Va savoir ... mais ne t'inquiète pas, les autres sont claires
RépondreSupprimerCe n'est qu'en lisat James que je comprends le jeu de mot lol Ah les forberies
RépondreSupprimerRavissants les "fourbescarpins". Si seulement je pouvais encore porter de telles chaussures
RépondreSupprimerMais non ! je savais marcher, danser et même courir avec de telles chaussures, quand j'avais vingt ans...
RépondreSupprimerEt pourtant...ça tenait...Mais je choisissais des salomé ou des chaussures à brides...
RépondreSupprimer... idéales pour danser le tango !
RépondreSupprimerOuais, je me vante un peu...le talon n'était quand même pas si haut... Mais le bout de la chaussure était très pointu !
RépondreSupprimerC'était la mode, dans les années entre 1958 et 1966. Maintenant je trouve ça un peu ridicule, d'être pointues à ce point. De plus, elles étaient très décolletées, jusqu'à la naissance des orteils !
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