Voyant, enfant, la lueur d'admiration, d'enthousiasme et d'amour
dans l'œil de nos proches, nous intégrons progressivement
ce miroir positif et apprenons à nous aimer.
(Guy Corneau)
Je consacre ma journée à l'Enfant en moi.
Je reconstruis mentalement l’image du petit garçon (ou de la petite fille) que j’étais à l’âge de cinq ans. J’imagine cette rencontre entre cet enfant et moi. Je me présente à lui. Je suis son futur et je vais l’emmener avec moi toute la journée.
Je le prends par la main, je lui raconte intérieurement ce que je fais et je reste conscient de sa présence à mon côté dans mes activités. Je lui fais des cadeaux, je m’offre un tour de manège, une sucette ou un gâteau et un nounours pour symboliser ce nouveau lien entre nous. Et surtout, je le regarde comme j’en aurais eu besoin pour apprendre à m’aimer. Plus jamais l’Enfant que j’étais ne sera seul.
(Isabelle Filliozat, L’Année du bonheur, 365 exercices de vie jour après jour)
superbe photo et texte très intérréssant ....une superbe idée besos tilk
RépondreSupprimerJ'adopte!
RépondreSupprimerbonne ID !!!!!
RépondreSupprimerCette nuit justement, j'ai rêver de moi à l'âge de 3-4 ans, un livre entre les mains, ma mère me contant une histoire ... nous étions dans le jardin de notre ancioenne maison ... Souvenirs ?? Synchronicité ?? Peut être devrais-je faire cet exercice pour voir ce que cela donne ...
RépondreSupprimerS’il est un âge heureux, c’est celui de l’enfance
RépondreSupprimeraux matins lumineux débordants d’espérance.
La vie nous tend les bras, on aiguise ses dents
pour y mordre avec fougue, les désirs sont ardents
et les joies innocentes et si douces les heures.
Il n’est point de nuage à l’horizon des cœurs. S’il est un âge heureux, c’est celui de l’enfance
où le cœur encore neuf ignore la souffrance.
L’amour ce n’est qu’un mot, on aime tout et rien,
on aime ses parents, on aime aussi son chien.
Aucune déception n’habite le regard,
les peines véritables seront pour plus tard. S’il est un âge heureux, c’est celui de l’enfance
où tout est merveilleux, où rien n’a d’importance.
Ceci nous fait pleurer, cela nous fait sourire,
les larmes d’un instant se fondent dans les rires.
On va de fleur en fleur ainsi qu’un papillon
et le temps sur les fronts ne laisse aucun sillon. S’il est un âge heureux, c’est celui de l’enfance.
Pourquoi fuit-elle ainsi en laissant peu de chance
de la saisir au vol et la garder un jour ?
Ceux qui l’ont dans le cœur conserveront toujours
à travers les épreuves un regard ébloui
pour la belle aventure qu’est malgré tout la vie. <span style= "font-family: "Microsoft Sans Serif","sans-serif"; color: #7030a0; font-size: 12pt; mso-bidi-font-size: 3.0p
Mais SACREE coincidence chère Alice
RépondreSupprimerAlors oui : sacrée !
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