L’une des caractéristiques des chanceux à répétition, c’est qu’il leur arrive aussi de ne pas avoir de chance, voire d’échouer lamentablement. Mais contrairement aux malchanceux chroniques, les chanceux semblent toujours savoir quoi faire quand cela leur arrive. Transformer l’essai des opportunités rencontrées, c’est aussi savoir recycler les revers et les coups du sort en autant d’ouvertures nouvelles. L’acceptation et le savoir-perdre du malchanceux se transforment chez le chanceux en une sorte de savoir-être-avec-les-difficultés, étant entendu que pour celui qui vit en mode chance, celle-ci réside moins dans ce qui lui arrive que dans ce qu’il va faire de ce qui va arriver. Pour qui vit en mode chance, l’échec ou le coup du sort n’interrompent jamais brutalement le flux de la chance. Ils le ralentissent parfois, mais le réorientent toujours vers d’autres zones de possibilités et d’action.
(Philippe Gabilliet, Eloge de la chance, ou l'art de prendre sa vie en main)
pour certains dans le 16ème ou sur certaines côtes... on sait d'ou vient la chance et pour d'autres au sahel par exemple on sait aussi d'ou vient le malheur muchos besos tilk
RépondreSupprimerJe crois plus au mérite qu'à la chance.
RépondreSupprimerEs-tu chanceuse, Alice ?
RépondreSupprimerJusqu'à présent, je crois que oui. Et je suis assez convaincue que c'est lié en effet à l'état d'esprit ! Et toi ? Ajout : Rappelle-toi Nelson Mandela qui disait : "J'ai toujours su qu'un jour, je sentirais à nouveau l'herbe sous mes pieds et que je marcherais dans le soleil comme un homme libre." (Parole extraite de : "Un long chemin vers la liberté")
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