François Morel raconte le procès féroce fait au bonheur. Procès où le bonheur était là, sur des photos, sur ces preuves où il apparaît saisissant, lumineux. Le bonheur sautait aux yeux, il n'était finalement pas le salaud infâme dont on faisait le procès. Mais le temps de reconnaître la vérité, de s'apercevoir de sa présence qu'il s'était déjà enfui, le bonheur était déjà loin ...
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Très intéressant mine de rien ... merci pour cette découverte ... encore une fois
RépondreSupprimerOui ! "Mine de rien" est bien l'expression qui convient !
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