Etre humain, c’est être une maison d'hôtes. Tous les matins arrive un nouvel invité.
Une joie, une dépression, une méchanceté, une prise de conscience momentanée vient comme un visiteur inattendu.
Accueillez-les tous et prenez-en soin ! Même s'ils sont une foule de chagrins, qui balayent violemment votre maison et la vident de tous ses meubles, traitez chaque invité honorablement. Peut-être vient-il faire de la place en vous pour de nouveaux délices.
La pensée sombre, la honte, la malice, rencontrez-les à la porte en riant, et invitez-les à entrer.
Soyez reconnaissants pour tous ceux qui viennent, parce que chacun a été envoyé comme un guide de l’au-delà.
(Rumi)
c'est ravissant et il y avait longtemps que je ne n'avais pas lu Rumi
RépondreSupprimerOui ! Car la synthèse de cette lumière d'acceptation, est une énergie de conscience et d’amour inconditionnel.Vous trouverez cette flamme sacrée enfouis au plus profond de votre votre être, lovée dans votre coeur ...
RépondreSupprimerPS : Et dans lovée il y a LOVE, marrant non !
mais si, tu connais Gilles Grangier même si tu es une jeunette peut-être pas cette série télé mais plein de films notamment avec Jean Gabin
RépondreSupprimermais tu as vu plein de films, j'en suis persuadée (rires)
RépondreSupprimerclin d'oeil
RépondreSupprimerMais je n’ai jamais quitté le navire Alice….J’étais de chacune de tes escales je n’ai manqué aucune miette (de thon !)
RépondreSupprimerDois-je le chanter ? : Ô Capitaine ! mon Capitaine (Le Cercle des poètes disparus )
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports (Brassens )
C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
Hisse et ho, Santiano !
Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux :
Je suis fier d'y être matelot. (Santiano ! Hugues Aufray )
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps.
Je t'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux pays du monde.
(si j’étais un homme Diane TELL
Vogue la vie, vogue l’aventure
Nous les marins nous ne faisons qu’un
Amis buvons à nos joies futures
Chantons en cœur à nos lendemains
(Deux ans de vacances -Gilles Grangier (m’étonnerais que tu connaisses))
Joliment dit, et si profond...
RépondreSupprimerOui ...
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