J’écris ce livre pour tous ces gens qui ont une vie simple et très belle, mais qui finissent par en douter parce qu'on ne leur propose que du spectaculaire.
J'ai dû le dire 20 ou 30 fois, j'ai lu TOUT BOBIN, je l'adore, c'est lumineux, simple, vrai.. Celui-ci vu que cela semblait autobiographqiue, j'ai attendu, mais j'aime tellement son écriture................Bon dimanche!!!
Cette photo est superbe ! La simplicité, ça me va tout à fait. Si tout le monde vivait simplement la terre serait beaucoup moins polluée et les tranquillisants seraient inutiles.
Je fais partie des simples ... avec bonheur
RépondreSupprimerJ'ai dû le dire 20 ou 30 fois, j'ai lu TOUT BOBIN, je l'adore, c'est lumineux, simple, vrai.. Celui-ci vu que cela semblait autobiographqiue, j'ai attendu, mais j'aime tellement son écriture................Bon dimanche!!!
RépondreSupprimerMagnifique la photo. Et puis la simplicité.... ça a tellement bon goût!
RépondreSupprimerIl suffit de si peu pour se dire qu'on a bien vécu et surtout qu'on a été heureux... une vie avec sa famille sans trop de contraintes...
RépondreSupprimerJe l'ai trouvé sur un blog récemment, mais c'est un texte de Félix Leclerc, donc je ne pense pas que ce soit interdit de le re-publier !
RépondreSupprimerOK, merci ! Programmé pour une date encore indéterminée : http://lartdubonheur.over-blog.com/article-paroles-de-bonheur-112864094.html
RépondreSupprimerCette photo est superbe ! La simplicité, ça me va tout à fait. Si tout le monde vivait simplement la terre serait beaucoup moins polluée et les tranquillisants seraient inutiles.
RépondreSupprimerLes pieds nus dans l'aube, texte de Felix Leclerc Lorsque nous étions réunis à table et que la soupière fumait
RépondreSupprimerMaman disait parfois :
- Cessez un instant de boire et de parler .
Nous obéissions.
- Regardez-vous , disait-elle doucement
nous nous regardions, sans comprendre, amusés.
- C'est pour vous faire penser au bonheur , ajoutait-elle.
Nous n'avions plus envie de rire.
Une maison chaude, du pain sur la nappe, des coudes qui se touchent, voilà le bonheur , répétait-elle à table, puis le repas reprenait tranquillement.
Nous pensions au bonheur qui sortait des plats fumants
qui nous attendait au soleil, dehors, et nous étions heureux.
Papa tournait la tête, comme nous, pour voir le bonheur jusque dans le fond du corridor, en riant, parce qu'il se sentait visé.
Il disait à ma mère : « Pourquoi tu nous y fais penser à ce bonheur ? »
Elle répondait : « Pour qu'il reste avec nous, le plus longtemps possible… »