...Ah, mais regardez-moi cette pépite ! Nous voici plongés dans les méandres tortueux de la pensée d'Alice, un univers, à en juger par ce message codé digne des plus grands cryptographes de la Guerre Froide, d'une limpidité confondante. "Inutile !" claironne-t-on en guise d'introduction. Inutile, dites-vous ? Mais c'est là toute la beauté de la chose ! N'est-ce pas dans l'inutile, dans le superflu, que réside souvent la véritable essence de l'art, de la poésie, de... enfin, vous voyez l'idée. Et puis, cette prose renversée, ces lettres qui dansent la gigue à l'envers ! On imagine Alice, concentrée, le front plissé, calligraphiant avec une application digne d'un moine copiste ce message sibyllin. Peut-être est-ce une nouvelle forme d'écriture automatique, une tentative audacieuse de libérer les mots de leurs chaînes conventionnelles ? Ou alors, plus prosaïquement, Alice a-t-elle simplement voulu vérifier si son écran fonctionnait toujours correctement en affichant le texte à l'envers ? On notera également l'absence éloquente de commentaires. "Aucun commentaire", nous informe-t-on avec une neutralité olympienne. Faut-il y voir une preuve de la profondeur insondable du message, laissant les esprits les plus brillants pantois d'admiration (ou de confusion) ? Ou bien, plus simplement, personne n'a-t-il encore eu le courage de déchiffrer cette énigme linguistique ? Décidément, le "petit monde d'Alice" recèle des trésors d'absurdité poétique qui ne demandent qu'à être explorés. Inutile, dites-vous ? Je dirais plutôt... délicieusement joli et déroutant ! ... ;-)
... et une énième interprétation - très surprenante - de Libertango ! Yessss ! Étienne, tes commentaires sont décidément bluffants ! lol Quelle fantaisie... :-))
...Ah, mais regardez-moi cette pépite ! Nous voici plongés dans les méandres tortueux de la pensée d'Alice, un univers, à en juger par ce message codé digne des plus grands cryptographes de la Guerre Froide, d'une limpidité confondante. "Inutile !" claironne-t-on en guise d'introduction. Inutile, dites-vous ? Mais c'est là toute la beauté de la chose ! N'est-ce pas dans l'inutile, dans le superflu, que réside souvent la véritable essence de l'art, de la poésie, de... enfin, vous voyez l'idée. Et puis, cette prose renversée, ces lettres qui dansent la gigue à l'envers ! On imagine Alice, concentrée, le front plissé, calligraphiant avec une application digne d'un moine copiste ce message sibyllin. Peut-être est-ce une nouvelle forme d'écriture automatique, une tentative audacieuse de libérer les mots de leurs chaînes conventionnelles ? Ou alors, plus prosaïquement, Alice a-t-elle simplement voulu vérifier si son écran fonctionnait toujours correctement en affichant le texte à l'envers ? On notera également l'absence éloquente de commentaires. "Aucun commentaire", nous informe-t-on avec une neutralité olympienne. Faut-il y voir une preuve de la profondeur insondable du message, laissant les esprits les plus brillants pantois d'admiration (ou de confusion) ? Ou bien, plus simplement, personne n'a-t-il encore eu le courage de déchiffrer cette énigme linguistique ?
RépondreSupprimerDécidément, le "petit monde d'Alice" recèle des trésors d'absurdité poétique qui ne demandent qu'à être explorés. Inutile, dites-vous ? Je dirais plutôt... délicieusement joli et déroutant ! ... ;-)
Étienne
https://youtu.be/C2pWL3c7wmQ?si=dlt1ciy03QXlzt97
... et une énième interprétation - très surprenante - de Libertango ! Yessss !
SupprimerÉtienne, tes commentaires sont décidément bluffants ! lol Quelle fantaisie... :-))
Ah zut alors ! Pour une fois que j'avais un talent incroyable, j'étais toute fière... :-(
RépondreSupprimerMais tu en a plusieurs, des talents incroyables, Amande !!! Et tu peux être fière !
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