Une jouissance perpétuelle cesse d'être une jouissance.
Dans les moments du printemps où tout renaît à la vie, il faut savoir que la jouissance est dans son essence éphémère. Et ne pas le regretter. Si je me réjouis autant du printemps, c'est parce que l'hiver est passé. Si je vivais dans un printemps permanent, je ne serais pas si soulagée de son surgissement. Cette phrase ouvre la porte à une grande sagesse. Ne pas regretter les jouissances perdues, c'est se donner la possibilité d'en avoir d'autres.
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