Vous cherchez l’illumination, façon feu d’artifice ou son et lumière au château de Versailles. Vous rêvez au nirvana béat et absolu. Vous ne parlez que
d’atteindre le satori comme si c’était une porte à franchir pour que tous les
problèmes soient réglés à jamais. Mais si vous y prenez garde, vous pourrez vous rendre compte que l’on a des satori quotidiens : de petits satori [mimés avec un espace entre le
pouce et l’index], de grands satori [les bras grands ouverts] ; en effet, tous les jours, à la suite d’une phrase entendue, d’une chose vue, d’un sourire, d’un événement particulier,
vous passez par des prises de conscience : ce sont là des satori. (Taisen Deshimaru)
lundi 25 août 2014
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