La vie est fluide ;
elle court comme l'eau du torrent
qui descend de la montagne.
Elle ne stagne jamais.
Tout ce qui s'arrête est mort.
La sécurité n'existe pas.
Nous sommes des êtres humains
avec toutes nos faiblesses,
mais aussi avec nos possibilités
et nos immenses ressources inconnues.
(Jeanne Guesné)

…Sans la méditation, vous serez à jamais esclaves du temps et de son ombre portée — la souffrance. Le temps, c’est la souffrance. Le silence et l’amour sont indissociables. Pour comprendre, soyez silencieux. Méditer, c’est être vulnérable, d’une vulnérabilité qui n’a ni passé ni futur, ni hier ni lendemain. N’est vulnérable que ce qui est neuf. La méditation n’est pas la voie d’accès à des expériences uniques, exceptionnelles : de telles expériences mènent à l’isolement, aux processus d’enfermement liés aux souvenirs assujettis au temps, faisant obstacle à la liberté… Krishnamurti http://www.youtube.com/watch?v=m8VSTzL5yZQ
RépondreSupprimerLE BONHEUR DANS LA LIBERTE. Xavier Mariani.
RépondreSupprimerJe t'ai lue, chère Alice, mais si j'en crois tes deux lignes, tu ne pourras pas admettre ma philosophie qui était celle de Saint-Exupéry et de bien d'autres qui se trouvaient dans un état de grâce tel, que, vivre côte à côte, ou loin l'un de l'autre, aucune altération des sentiments ne pouvait survenir quand se produisaient ce qu'il est convenu d'appeler chez les communs des mortels : des "dérapages". Pour comprendre et ensuite ADMETTRE cela dans une grande complicité requiert un grand travail sur soi. Bon, pardonne-moi, je n'aborderai plus ce sujet. Très douce nuit à toi. Xavier.
RépondreSupprimerMa chère Tweeting, Lorsque tu auras pris le temps de lire le digest de ma philosophie, tu sauras qu'on peut être heureux, et même doublement, séparé de l'autre (Ou d'un(e) autre). L'amour, comme l'amitié, ne se conçoit que par la présence d'un(e) "autre", mais cette présence peut être physique et morale ou simplement morale. Si tu souhaites des explications plus concretes, car ma philosophie est CONCRETE, alors pose-moi autant de question que tu le souhaiteras. Mais lis-donc d'abord mon digest et tu comprendras qu'on peut, en étant isolé de l'autre, être "heureux"...en succombant à un désir tout en restant : - soit libre dans son choix de rester SEUL ensuite, - soit libre dans son choix de rejoindre ensuite l'autre...qui doit avoir les mêmes libertés. Mais pour en arriver là il faut un gros travail sur soi et avoir une "conscience civilisée" comprenant, parce qu'ADMETTANT, qu'un "dérapage" n'est pas une faute dès lors qu'elle a été préalablement ADMISE AU FOND DE SOI. Il y a faute quand il y a tromperie (Mensonge) après s'être compris et admis. Comprends-tu ?.. J'ai eu beaucoup de mal à faire comprendre ça, mais j'y suis arrivé deux fois (Ce n'est pas si mal...) Je te fais, si tu m'autorises, une bise au parfum d'algues. Xavier.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette eau qui coule, c'est fascinant. Xavier, ce que tu proposes comme idéal me semble être proche de ce que Sartre et Beauvoir essayaient de vivre. Mais dans ce genre de relation, il y en a probablement toujours un des deux qui n'atteint pas cet "idéal" et qui souffre de voir que l'autre y arrive très bien, exécute en virtuose des "dérapages" plus ou moins contrôlés et se sent peut-être un peu le dindon de la farce. Pour moi, c'est très clair : quand on aime on a envie de vivre ensemble et on reste fidèle. Mais peut-être n'ai-je rien compris à tes explications...Dans ce cas, pardonne à mes élucubrations...
RépondreSupprimerPas grave...
RépondreSupprimerNon, pas grave !
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