- Prendre soin de son corps, lui prodiguer du plaisir.
- Célébrer le moment présent.
- Se laisser émerveiller par la beauté d’une oeuvre d’art, d’un coucher de soleil, d’un visage, d’un geste, d’une fleur.
- Donner libre cours à la créativité.
- Rire, rire, rire.
- Sentir le parfum délicat des fleurs disposées amoureusement dans un vase.
- Créer une atmosphère où poésie, musique et sensualité se conjuguent.
- Oser aller à la rencontre du désir, de la passion, du ravissement.
- Porter un vêtement de fine soie sur la peau nue.
- Danser, laisser le corps exprimer sa grâce sans avoir recours au logos des mots.
Sandro Botticelli, La Naissance de Vénus (détail) (1485)
Quelques lignes...(Mon site en dit plus long) Echanger à travers les "lucarnes", sur ce site, permet d'établir le contact avec ses semblables, mais il faut se défendre de trop se protéger, par des exigences, en profitant de cet écran que l’on sait protecteur et qui nous donne l’impression d’être moins vulnérable. Ce que l’on considère comme un rempart nécessaire comporte de sérieux inconvénients. On reste dans sa « souveraineté », sans aventurer grand chose de soi.
RépondreSupprimerTrop souvent on peut relever dans chez les "twittos" des attitudes qui découragent, notamment quand on ne s'adresse qu'à soi dans les pensées où des informations. Rarement l'envoi d'un message qui nouerait des liens quand bien même ne seraient-ils que virtuels.
Ce sont les échanges (Authentiques) qui rapprochent les êtres. Saint-Exupéry disait ="" C'est le "langage" qui noue les choses"". Peut-on connaître le bonheur quand on est dans la solitude ?.. Je n'en veux pour preuve que le roman "Robinson Crusoe" où l'homme, malgré la superbe nature où il vit, ne "revit" que grâce à sa rencontre avec "Vendredi". Là peut commencer le bonheur si l'esprit est apte à le saisir. Xavier. 09/07/2013
Qu'il sagisse d'amour ou d'amitié, rien ne peut remplacer le "langage" pour connaître l'autre...et peut-être, au fil des échanges, se reconnaître dans l'autre.
Sublime Sappho Charles-Auguste Mengin, 1877 Heureux! qui près de toi, pour toi seule soupire, Qui jouit du plaisir de t'entendre parler, Qui te voit quelquefois doucement lui sourire. Les Dieux dans son bonheur peuvent-ils l'égaler ? Je sens de veine en veine une subtile flamme Courir par tout mon corps, sitôt que je te vois : <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align:
RépondreSupprimerMerci Alice d'avoir lu et répondu aussi vite... Vide, Tweetter ?.. Oh oui. Mais en parlant de "souveraineté", je pensais précisément à Tweetter. A travers un blogue, on peut davantage connaître la personne qui s'exprime dans ses goûts, ses passions, voire ses sentiments, sans pour autant "s'abandonner". "C'est peu et beaucoup" dis-tu... Le progrès technologique présente de l'intérêt s'il se met au service de la pensée, à condition que la pensée elle-même soit...authentique. Ce n'est pas le cas, bien que nous ayons cette chance de pouvoir nous exprimer, contairement aux pays où règne encore un méconfort qui entrave la pensée. J'ai entendu un jour Yves Montand dire d'une façon élémentaire mais sincère que "on ne peut pas exprimer ses pensées et prendre le temps de se consacrer à des échanges intéressants lorsqu'on à le ventre vide". Nous possédons, nous, le bien-être du confort matériel et les moyens technologiques pour communiquer, mais nous manquons d'une certaine audace pour nous "libérer" des habitudes de ce confort matériel ... Nous y tenons peut-être un peu trop (?). Ce n'est assurément pas avec tweeter qu'une relation, quelle qu'elle soit, peut voir le jour. Certes ce dispositif n'a pas la prétention de rapprocher les êtres humains : c'est une distraction, ou un exutoire quand la politique ou les "flashs" sur les évènements nationaux ou internationaux s'en mêlent. Difficile donc de nouer un lien quelconque, surtout en étant limité dans son propos à 140 caractères...Tweetter, en fait, c'est un peu le "Speed dating" à distance. Mais (Pour ne pas être trop indigeste), je vais en rester là... pour ce soir (Tu vois, tu m'as mis en confiance :-) ) en disant que ce serait une erreur que de faire supporter tout l'aspect négatif à la technologie, car, nous aussi, nous nous laissons brider dans notre liberté par les manipulations de ceux qui nous imposent des systèmes. Freud écrivait que "la civilisation est quelque chose d'imposé". Allez, un peu de romantisme : Que tes franges de soie blonde, en tombant sur tes yeux, t'apportent des rêves dorés. Xavier.
RépondreSupprimerToutes ces activités charmantes sont considérées comme des "péchés" dans bien des religions. Affranchissons-nous !
RépondreSupprimer... nous, les Aphrodite de 2013 ! Il en est bien temps.
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