La vertu paradoxale de la lecture est de nous abstraire du monde
pour lui trouver un sens.
(Daniel Pennac)
Yale Joel, photographe de LIFE, Central Park, New York, 1957
mardi 8 janvier 2013
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Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel.
RépondreSupprimerC'est le livre le plus profond qui soit
et ce n'est même pas moi qui tourne les pages. C. Bobin
... Ou de nous conter UN monde ...
RépondreSupprimerC'est à dire une sensibilité unique, une vision du monde par un regard, une vue, une pénétration unique ... réelle ET imaginaire
RépondreSupprimerOK !
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