D'étranges silhouettes au loin se faufilent,
Au milieu de la forêt des rêves magiques,
Suivies par un doux sillon d'illusions féeriques,
Au sein d'une valse de mouvements agiles.
Leurs longues chevelures dansent dans le vent,
Éclairées dans la nuit sous un ciel étoilé.
Guidées sur un chemin scintillant de reflets,
Sous la clarté des nuages fluorescents.
Sphère imaginaire ouverte sur mon sommeil,
M'appelant dans mon rêve traçant son chemin,
La route des fées aux éternels lendemains,
M'amène dans un songe vécu en éveil.
Dans la magie de la nuit, le ciel s'illumine,
Les arbres de la forêt rayonnent de vie,
Sur la trace des fées qui jamais ne dévie,
Quand vers elle tout doucement je m'achemine.
(Baggins)
Valinor, son blog de poésie et de féerie sur les traces du petit peuple et de la chevalerie, se trouve > ici !
Les fées nous endorment, nous ouvrent les portes de leur royaume, qui se referment sur nous sans qu'elles aient pris la précaution de nous en remettre la clé.
RépondreSupprimerJean Tétreau http://www.youtube.com/watch?v=JCtbhWa93VY
Merci à toi Alice d'avoir fait connaitre ma poésie et mon blog, bises et bonne soirée
RépondreSupprimerTa jolie fée des arbres et des oiseaux me plaît beaucoup et la musique aussi...
RépondreSupprimerBonne journée Alice
Charmante, cette vidéo !
RépondreSupprimerJe suis une fan de féérie et j'aime beaucoup ce poème. Je m'en vais découvrir d'un coup d'aile Valinor!
RépondreSupprimerAlors tu vas t'y plaire, Tit'elfe !
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