....Ah, les livres prêtés... Quelle naïveté de croire à un simple échange culturel ! En vérité, c'est un aller simple sans retour vers une galaxie lointaine, très lointaine, où votre précieux volume devient un objet non identifié, vaguement familier, perdu dans les limbes d'une bibliothèque anarchique. Il connaîtra des fortunes diverses : relégation derrière des piles informes, maculage par des substances indéfinies, peut-être même une brève carrière comme presse-papier stylé. Son statut d'œuvre littéraire s'estompe au profit d'une fonction utilitaire inattendue. Et nous, pauvres prêteurs, nous nous consolons en imaginant qu'il enrichit d'autres esprits... alors qu'il sert probablement de cale à meubles bancals ou de repose-tasse. Quelle farce !
....Ah, les livres prêtés... Quelle naïveté de croire à un simple échange culturel ! En vérité, c'est un aller simple sans retour vers une galaxie lointaine, très lointaine, où votre précieux volume devient un objet non identifié, vaguement familier, perdu dans les limbes d'une bibliothèque anarchique. Il connaîtra des fortunes diverses : relégation derrière des piles informes, maculage par des substances indéfinies, peut-être même une brève carrière comme presse-papier stylé. Son statut d'œuvre littéraire s'estompe au profit d'une fonction utilitaire inattendue. Et nous, pauvres prêteurs, nous nous consolons en imaginant qu'il enrichit d'autres esprits... alors qu'il sert probablement de cale à meubles bancals ou de repose-tasse. Quelle farce !
RépondreSupprimerÉtienne
https://youtu.be/l4wUPFdz1iw?si=Gr_lJwxQ9Yatib4X
Paul Barton, cette fois seul en scène... merci pour cette belle interprétation !
SupprimerOui, Étienne, prêter des livres est souvent une "farce"... mais ce n'est pas grave : les bouquins, ça se rachète ! :-))